Antécédents psychiatriques : « La plupart des gens sont fous, ici. Enfin, je dis la plupart, mais c'est que certains sont moins fous, ils paraissent normaux a nos yeux, mais pour vous ils le seraient tout autant que nous a leurs yeux... Cela veut dire que nous sommes tous fous, mais que les moins fous sont dans la norme, donc la folie est normale, en tout cas elle l'est ici. Vous saisissez ? » Ce genre de divagation est monnaie courante avec Carter et on pourrait croire que c'est cela sa folie, passer son temps à dire des choses sans queue ni tête, ou a conter ses théories farfelues sur murderland et ses habitants en retenant près d'elle de pauvres gens qui ne demandaient rien que s'enfuir de ce pays maudit. Et bien non, mais cette tendance à parler en énigme est justement provoquée par son ''problème''. Vous l'aurez sans doute remarqué, Carter passe ses journées à fumer des substances inconnues et à avaler d'étranges comprimés multicolores et je vous le dis tout de suite, il ne s'agit pas de gentil petit tabac ou de simples capsules ecstasy, ici on est à murderland, ce que fume et ingurgite Carter a longueur de journée n'as pas vraiment de nom, par contre il a des effets ravageurs, une bonne quantité de ces petites pastilles pourrait facilement nous assommer un éléphant, celles-ci combinées aux étonnantes plantes que fume la Caterpillar provoquent une espèce de court-circuit dans sa cervelle, "geniaaal" gémissait la junkie à ses premières heures de fumettes. A force de consommer et consommer, Carter a contractée une puissante dépendance à toutes ces drogues, particulièrement a celle qu'elle fume à la pipe et qui provoque une nuée de nuage multicolores autour d'elle. Naturellement, je ne parle pas d'une dépendance gentillette, je parle de la vraie, la seule qui vaille le coup d'être vécue, celle qui provoque des spasmes et des envies suicidaires aux moindres secondes de manques. Celle qui fait naitre une incapacité à gérer sa propre consommation, qui nous fait consommer plus longtemps et dans une quantité bien plus grande que ce qu'on aurait voulu.

Groupe : » shimin
Origine : Carter n’a jamais vécu sur terre, elle a été engendrée par la folle imagination d’Alice. Elle est "née" et a toujours vécu dans Desolated lowland. Une terre plongée dans une nuit éternelle dans laquelle elle côtoie fleurs mouvantes et insectes géants.
Royaume : Desolated lowland. Inutile de la chercher ailleurs, elle ne sort jamais de son royaume. Mais avouons-le, il est extrêmement rare que quelqu'un cherche après elle.

Aime/Aime pas : Ce qu'elle aime ? Bonne question, très bonne question même. Carter est un être tellement impénétrable... Elle semble toujours n'avoir rien à faire de tout. Et bien pour commencer, elle aime ses drogues, oui, je sais, c'est totalement inutile de le préciser, mais enfin pour passer tant d'heure de sa vie à en consommer et ce au point que cela nous transforme en véritable loque humaine passant ses journées immobile, il faut vraiment aimer ça. Bien, elle aime donc se droguer et ce d'à peu près toutes les façons possibles, fumer, snifer, injection intra-veinale, petits cachets rose et jaunes décorés d'un étrange dessin imitant la tête d'un lapin blanc... Mais celle qu'elle affectionne le plus, c'est cette étrange plante qui n'existe qu'à murderland et qu'elle fume dans une pipe chinoise ou un narguilé.
Sa principale source d'amusement est dans une forme de torture mentale. (rien de bien méchant). Elle adore lorsqu'elle apprend l'arrivée d'un saguko, « chouette, une nouvelle victime » se dit-elle en tirant sur sa pipe. C'est ça, son hobby, attendre qu'un pauvre gamin qui n'a rien demandé débarque devant elle, l'air perdu pour lui demander dans quel enfer il a bien pu tomber. A partir de là, le pauvre type, qui comprenait a peu près la situation va tomber sous les énigmes, les affirmations et les questionnements de Carter s'il n'a pas un minimum de jugeote et de capacité de réflexion, son cerveau risque d'en prendre un sacré coup. Cela, combiné à la quantité de fumée, qu'elle lui crache à la figure a de quoi le rendre assez timbré pour se fondre dans le paysage de murderland.
Mais, bien avant d'être une folle, drogué à la limite du sadisme, Carter est une femme, une femme qui aime les hommes et qui aime encore plus tester sur eux son potentiel de charme et d'érotisme. Mais attention, elle n'est absolument pas attiré par les petits jeunots fraichement arrivé dans murderland, ce qu'elle aime, c'est les hommes les vrais. Des mâles mûr, au visage durci par la vie, voilà ce dont Carter estime avoir besoin. Et vas-y que je me déhanche devant-toi, que je dégage mes cheveux de ma nuque, que je desserre le col de mon kimono pour laisser apercevoir un bout de chair blanche . Et jusqu'à aujourd'hui, elle a toujours réussi à avoir ceux qu'elle convoitai.

Arme et/ou objet fétiche : Elle ne possède pas d'arme, Carter n'est pas une guerrière, contrairement a d'autre cinglé de ce pays, la vue du sang ne provoque pas la moindre satisfaction chez elle, cela ne la rebute pas non plus, elle y est simplement indifférente.
Quand à son objet fétiche et bien, je dirais sa pipe chinoise étant donné qu'elle ne peut promener son narguilé avec elle, a la moindre balade elle prend sa pipe pour continuer de fournir à son corp la quantité de fumée exigée. C'est elle qui fait d'elle ce qu'elle est vraiment.
Orientation sexuelle: Comme nous je l’ai dit un peu plus haut, Carter est une adepte des hommes mûrs, formés par la vie. Mais elle trouve aussi une forme de charme dans les courbes, la douceur et la futilité des femmes, elle a déjà plusieurs fois eu l’occasion de côtoyer la gente féminine dans l’intimité et c’est quelque chose qu’elle apprécie autant que la compagnie des hommes.
Signe distinctif: La belle n'a rien de banal, à croire qu'elle n'a que des signes distinctifs. D'abord, ses cheveux, incroyablement long ; ils arrivent facilement en dessous de ses genoux. Ils sont sa fierté, elle les chouchoute, les brossant a longueur de journée, les enduisant d'essence de jasmin... Deuxièmement, ses vêtements, dans sa garde-robe, rien de discret, uniquement des robes à l'européenne ou des kimonos incroyablement riches aux motifs travaillés dans des tons vifs. Et pour finir, ses yeux améthyste qui tranchent avec la blancheur de sa peau et attirent irrémédiablement le regard des pauvres gens.